La discipline scolaire d'une autre époque

Catégories : Hommes fessés
il y a 5 ans

« Je vais recevoir la fessée parce que je suis un élève indiscipliné et turbulent en classe. »

« Je vais recevoir la fessée parce que… »

« Recopiez cette phrase jusqu’à que je vous appelle à votre tour lorsque Madame la Directrice vous convoquera à son bureau » m’avait ordonné la jeune surveillante chargée de surveiller les trois élèves punis de trois heures de retenue en ce dimanche matin.

Ecrire cela quand on a près de 14 ans, c’est pire qu’une paire de gifles. « Est-ce bien cette phrase-là que m’a dictée la jeune surveillante ? » me demandai-je. Ou simplement le fruit de mon inquiétude ? Du moins était-ce ce que mes oreilles avaient entendu… Le temps avait commencé à s’écouler et la boule qui me gênait dès le lever avait repris son va et vient dans ma gorge serrée.

Ce matin-là, le collège vide de ses élèves est silencieux. De même que la salle d’études. Habituellement bondée d’une soixantaine de têtes les soirs en semaine, elle me paraît plus vaste et austère que jamais. Penché sur mon pupitre, osant à peine relever la tête pour observer mes deux compagnons de retenue assis à des pupitres séparés, je m’appliquais à recopier ligne après ligne l’effrayante phrase du pensum que m’avait dictée la jeune surveillante.

La FESSÉE. Mais pourquoi ce mot me martelait-il la tête jusqu’à l’obsession ? Et pourquoi ce « LA » au lieu du quelconque « UNE » ?… Parce que je savais depuis longtemps que, dans cette institution privée pour garçons, c’était le châtiment suprême, unique et sans rival à comparer des autres punitions et pénitences les plus communes. Au reste, n’ironisait-on pas chez nos professeurs « ce n’est pas le fond de votre culotte qui a besoin de la fessée ».

Et les élèves le savaient ou finissaient par l’apprendre : chez Mme la Directrice, c’était toujours culotte basse et à derrière nu qu’on LA recevait. De sa main ou de son martinet et dans l’intimité d’un douloureux corps à corps entre vous et elle. Et ni la taille ni l’âge ne vous offraient le privilège d’en être exempté.

Collé ! Et le dimanche qui plus est ! Le pire qu’il pouvait m’arriver! Et il avait fallu seulement près de trois mois depuis mon arrivée dans cette institution réputée pour son excellence et sa stricte discipline. A 13 ans passés, l’âge bête se révélant souverain, je finis par succomber un mercredi à cause de mes défaillances à répétition. Mlle Marceline, la prof de Maths, ne me rata pas.

« Maintenant, ça suffit ! »

Sa voix habituellement calme avait pris exceptionnellement une inflexion pointue, sifflante d’exaspération.

Elle m’avait puni. J’avais dû lui présenter humblement mes mains tendues l’une après l’autre. Bien que les six douloureux coups de sa lourde règle m’eussent fait exploser les paumes et les doigts à m’en couper le souffle, j’avais eu également droit à un supplément de punition que j’avais encaissé comme un coup de poing à l’estomac.

« Je vous colle trois heures de retenue pour dimanche prochain ! »

J’étais retourné à ma place, comme étourdi, serrant entre mes doigts brûlants et enflés de douloureux élancements, le bulletin rose de punition avec son motif.

Dès lors, l’esprit tendu vers ce dimanche fatidique, j’avais compté les jours qui me rapprochaient de ma rencontre avec la directrice. Cette belle femme à la quarantaine épanouie et à la mise élégante et soignée m’avait fortement impressionné le jour même de mon inscription dans cette nouvelle institution. Sa personnalité autant que sa fonction f o r ç a ient le respect. Il suffisait de voir quelle attitude déférente et craintive figeait les élèves qui d’aventure la croisaient, et pire, l’expression effarée des garçons qu’elle convoquait pour motif de discipline.

Une heure s’était écoulée nous rapprochant de la fin de la colle et rien ne s’était passé. L’espoir me gagna. La directrice n’était donc pas ici. Serait-il possible d’échapper à l’horreur du châtiment corporel, la fameuse fessée au martinet ? J’en étais encore à supputer mes chances lorsque la surveillante se leva.

« Messieurs, continuez à écrire. Et en silence si vous ne voulez pas aggraver votre cas ! » avait-elle dit en sortant de la salle d’études, nos trois bulletins dans la main.

Et de nouveau, la boule s’était remise en mouvement dans mon ventre.

A l’étroit dans mon « costume du dimanche »

Le jour venu, comme tous les dimanches et jours de fête, j’avais endossé mon « costume du dimanche ». Ce vêtement de drap fin et de nuance gris perle composé d’une veste et d’une culotte courte assortie me plaisait beaucoup pour son élégance et parce qu’il me changeait de mon sempiternel uniforme de collégien. J’aimais aussi sentir la douceur de l’étoffe qui gainait mes cuisses et, ma foi, l’image du beau jeune homme chic que me renvoyait le miroir flattait ma coquetterie d’a d o l e s c e n t .

Néanmoins, les longues vacances d’été m’ayant bien profité, j’avais notablement grandi et forci. Du coup, acheté l’année précédente, mon costume s’était révélé un peu juste lors de cette nouvelle rentrée. J’avais eu un peu de mal à revêtir la culotte. Néanmoins, moyennant quelques tortillements de reins et de hanches, j’avais réussi à l’enfiler mais sans la boutonner à la taille.

Bien sûr, je m’étais vite senti gêné aux entournures, au contact de ma culotte en particulier. Elle s’ajustait bien trop à la peau au point que la pression qui s’exerçait en permanence à la fourche de l’entrejambe se répercutait sur mes petites noix, une sensation peu agréable qui me rappelait leur existence à chaque pas. Et par derrière, ce n’était guère mieux. Emprisonnée dans son élégant carcan, ma croupe n’en paraissait que plus visible. Et cette fois, je déplorais, dos tourné au grand miroir, qu’il réfléchisse l’image indiscrète de ses rondeurs amples et fermes dont on disait qu’elles avaient des allures plutôt féminines.

Ainsi accoutré, je me dépêchai de me rendre au collège. Je retrouvai deux autres « collés du dimanche » qui attendaient devant la grille encore fermée que l’on vienne leur ouvrir. Je n’étais donc pas seul et la présence de ces compagnons d’infortune m’avait quelque peu soulagé. Il y en avait un plus vieux que moi, de 14-15 ans environ, coupable d’avoir molesté un plus jeune, infraction grave sévèrement punie. C’était un garçon à la taille élancée et planté sur une superbe paire de jambes longues et lisses dont la musculature à la fois robuste et déliée émergeait de sa culotte courte d’uniforme. L’ovale de son visage encadrait une expression calme et assurée. Etait-ce dû à son ancienneté ? En tout cas, il paraissait ne rien craindre de la retenue.

L’autre élève était le plus jeune. Sous sa chevelure blonde et bouclée il avait gardé le visage e n f a n t in d’angelot que chiffonnait l’inquiétude. D’une voix timide, il nous confia qu’il était ici à cause de retards chroniques alors qu’il habitait tout près du collège. Deux avertissements assortis de mises en pénitence à genoux durant les récréations étaient demeurés sans effet. Il avait l’air manifestement plus perturbé que moi, sans doute victime de l’influence des grands élèves des classes supérieures.

Certains d’entre eux, poussant perfidement l’avantage de leur ancienneté, se faisaient un malin plaisir d’a b u s e r de la crédulité de jeunes nouveaux. Ils ne tarissaient pas au sujet de l’exceptionnelle sévérité de la directrice envers les mauvais élèves. Pour accréditer leurs effrayants racontars, ils leur montraient l’un des soupiraux donnant sur une cave qu’ils avaient baptisée « salle de t o r t u r e ».

Dans le clair-obscur, l’on pouvait vaguement distinguer un cheval d’arçon haut sur pattes. C’était là, selon eux, que la directrice emmenait les élèves récalcitrants punis de colle le dimanche pour les fouetter sur leurs fesses nues après les avoir attachés sur ce meuble.

« Ici, elle fait mettre tout nu ! Et pas pour une fessée, mais pour le fouet !… Une grosse lanière de cuir comme ça ! », insistait-on, l’intervalle entre le pouce et de l’index indiquant l’épaisseur supposée du cuir. Proprement effrayant ! Surcroît de preuve : eux-mêmes n’y étaient-ils pas passés comme des héros ?

Ce méchant cabotinage, qui m’avait lui-même abusé à mon arrivée, taraudait maintenant ma mémoire. Le subterfuge déjoué, restaient toutefois les témoignages, véridiques ceux-là. Sans être automatique, l’éventualité d’une fessée en plus d’une colle le dimanche était un risque à courir pour un puni.

Il m’était arrivé de reprendre à mon compte ces fadaises, sans méchanceté ni volonté de les écraser de ma supériorité. Ce qui me plaisait, sans en avoir vraiment conscience, c’était d’observer dans leurs regards et leurs mimiques inquiètes la même crainte que je ressentais moi-même à l’idée de la menace possible d’une éventuelle correction au martinet de la part de notre directrice.

Le martinet… en présence des nièces de la directrice ?

Le martinet ? Il existait bel et bien ! A peine m’étais-je acclimaté à ma nouvelle destinée que j’avais aperçu notre directrice traverser la cour, traînant par l’oreille un grand garçon à l’air égaré. Le martinet qui pendait au bout de son bras m’avait paru tout bonnement monstrueux avec sa volumineuse touffe brune de lanières de cuir qui se balançaient au gré de ses pas.

Je les avais observés à la dérobée, à la fois fasciné et effrayé. De dos, le spectacle était encore plus saisissant. La directrice avançait d’un pas assuré au rythme du claquement de ses talons hauts, la fine couture de ses bas soulignant le galbe fin de ses mollets en mouvement. Lui trottinait à ses côtés, trébuchant et se tortillant comme un ver sous la douloureuse traction subie par son oreille. Au fond bien rempli de sa culotte courte d’uniforme, il n’était pas difficile d’imaginer que cet endroit serait bientôt mis à nu pour favoriser le douloureux exercice des lanières serpentines de cuir.

Et preuve des preuves, s’il en fallait, de la réalité de ces corrections au martinet, il suffisait d’apercevoir les punis de fessée à leur retour. La plupart tentaient de se faire le plus discret possible en s’eff o r ç a nt de détourner leurs yeux rougis et gonflés de larmes. Ils avaient beau abaisser le bas de leur culotte, on ne pouvait pas confondre les zébrures rouges qui en débordaient sur les cuisses avec des griffures de ronces. Rares étaient ceux qui croyaient faire bonne figure en prenant l’allure faussement dégagée de celui qui n’a peur de rien, pas même du martinet; leur piteux sourire grimaçant était incapable de donner le change.

Cependant, demeurait une inconnue dont je n’avais pas réussi à me débarrasser : c’était la rumeur troublante concernant les deux jeunes nièces de la directrice. Je les connaissais de vue pour les croiser de temps à autre, non sans un pincement de cœur lorsqu’elles venaient voir leur directrice de tante. Elles étaient tellement mignonnes ! Moi, comme mes camarades, on en pinçait pour elles.

L’une avait mon âge et me ravissait avec ses couettes coquettement serrées par des rubans. L’autre, une grande et belle demoiselle de 16 ans, m’impressionnait avec sa longue et fine chevelure blonde qui retombait en frange nette sur son front. Or il se disait que ces visites avaient parfois lieu le dimanche, leur tante les faisant réviser dans son bureau, et même pendant qu’elle corrigeait un puni. La seule pensée de se faire fesser en leur présence me hantait comme un cauchemar et mon cœur s’emballait, mais non par amour !

Au retour de la surveillante, tous les trois avions relevé la tête. Nos yeux avaient alors reflété l’inquiétude d’une question informulée. La réponse fut sans équivoque.

« Vous ! avait-elle dit en désignant le plus vieux d’entre nous, Madame la Directrice veut vous voir ! Venez avec moi. »

Il avait eu un moment d’hésitation puis, l’air résigné mais arborant le sourire f o r c é de celui qui affronte courageusement le danger, le grand élève avait suivi la jeune femme. L’instant d’après, elle était revenue, mais sans lui.

J’avais continué à remplir ma page d’une écriture automatique, la tête en ébullition à f o r c e de m’embrouiller dans les supputations.

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